Dodge Desert Power Wagon
500 000 $ Dodge !
C’est à Aaron.R et Barret.E qu’on doit l’idée de Desert Power Wagons créé en 2014.
Aujourd’hui installé à Wilmington, en Caroline du Nord, c’est d’ici que certains des plus beaux concept restomods sur mesures reprennent la route…
Sa plus récente création ? Un 4×4 Dodge Power Wagon turbodiesel 6,7 L.
Ce chef-d’œuvre construit à la main impose ce mélange de style classique avec la puissance, le confort et la conduite d’un 4×4 de luxe moderne.
Chez Desert Power Wagons ont a passé plus de 3.500 heures à transformer ce cheval de bataille Dodge de la 2e guerre mondiale, autrefois spartiate, en un 4×4 familial moderne en lui conservant une véritable âme vintage.
Puissance diesel !
Un moteur turbodiesel Cummins à 24 soupapes de 6,7L assure quelques 370 ch, remplace l’anémique 6 en ligne des années guerrières.
Associé à une boîte automatique à quatre vitesses 48RFE et à un transfert manuel NP271 robuste, ce 4×4 Power Wagon est conçu autant pour le remorquage sans effort que le « cruising » sur highway autoroute que pour l’offroad.
Construit sur un châssis Ram 2500 SLT 4×4, il offre un raffinement moderne tout en rendant hommage à ses racines.
La configuration de suspension offre des ressorts Eibach et des amortisseurs King. On dispose de jantes en 20 pouces chaussées de pneus Maxxis Razr MT en 37.
Le freinage est confié à Wilwood Tactical Extreme TX6R Big Brakes avec des étriers à six pistons.
Confort moderne
Chaque panneau fut construit à la main terminée par l’équipe de Desert Power Wagons.
À l’intérieur, on trouve du cuir « Pinecone», des sièges électriques chauffants et un volant en bois GT Performance
Ils sont associés à des ensembles modernes comme les jauges Dakota Digital, un système de climatisation Vintage Air et un écran d’infodivertissement Atoto de 7,0 pouces, des caméras à 360 et évidemment Apple CarPlay.
Tarif en conséquence…
Affiché 499 000 $, le tarif de ce Desert Power Wagon peut sembler prohibitif, mais c’est aujourd’hui le coup de la construction à la main…Un art en perdition…
